Cancérologie - Oncologie

Coordonnées

CH Annecy, photo du service
  • Annecy
  • Secrétariat
  • du lundi au vendredi de 9 h à 17 h
  • Institut de Cancérologie

Pour vos suivis en radiothérapie :

04 50 63 65 93

Durant tout votre suivi en dermatologie, gastrologie, penumologie à l'hôpital votre contact est votre service de référence même si certains RDV se situent sur l'Institut de cancérologie.

Dermatologie : 04 50 63 68 63 ou via MyCHANGE

Hépato-gastro-entérologie : 04 50 63 66 05

Onco thoracique : 04 50 63 68 98

Pour les autres spécialités (gynécologie, urologie, ORL, onco-neuro, hématologie), votre contact est le secrétariat de l'Institut de cancérologie : 04 50 63 66 08 

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CH St-Julien, photo du service
  • St-Julien
  • Secrétariat commun avec le site d'Annecy
  • du lundi au vendredi de 9 h à 17 h

Votre contact est votre service de référence même si certains RDV de traitements se situent sur l'Institut de cancérologie du site d'Annecy.

Durant tout votre suivi votre contact est le secrétariat:

Hépato-gastro-entérologie : 04 50 49 65 60

Onco thoracique : 04 50 49 65 67

Autres spécialités : dermatologie, ORL, neurologie, gynécologie/sein, urologie :

04 50 49 66 01

Missions

Le service d’oncologie du Centre Hospitalier Annecy Genevois assure la prise en charge globale des patients atteints de pathologies cancéreuses. Cette prise en charge est organisée de la manière suivante : 

  • Les consultations
  • Les chimiothérapies ambulatoires en hôpital de jour
  • L’hospitalisation complète en oncologie qui permet la réalisation de bilans, diagnostics et traitements des pathologies cancéreuses, notamment les chimiothérapies imposant des hospitalisations de plus d’une journée 

En outre, les patients peuvent être accompagnés par des professionnels spécialisés dans la prise en charge de la douleur ou par une équipe dédiée aux soins palliatifs et bénéficier d’une assistance psychologique, sociale, diététique et esthétique adaptée.

 

Sur le site de Saint-Julien, deux oncologues sont présents tous les lundis pour des consultations d'oncologie médicale, d'annonce ou de suivi, qui concernent la sénologie, l'oncologie gynécologique, neurologique, urologique, et ORL.

Gynécologie

 

LE CANCER DU SEIN

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquent chez la femme : 1 femme sur 8 risque de développer un cancer du sein, dans les trois quarts des cas chez des personnes de plus de 50 ans. Il y a 54000 nouveaux cas par an en France.

Il s’agit de la multiplication de manière désordonnée de cellules malignes jusqu'à créer un amas de cellules anormales, c'est-à-dire une tumeur : soit très localisée, soit plus invasive lorsqu'elle se propage aux tissus sains avoisinants et, à un stade plus tardif, aux ganglions lymphatiques les plus proches ou aux organes à distance.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-sein/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du sein, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle, consultations d’oncogénétique… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

Le dépistage du cancer du sein :

Il s’agit d’un dépistage organisé, chez toutes les femmes entre 50 et 74 ans, réalisé par un examen clinique et une imagerie (échographie et mammographie).

Pour en savoir plus : 

Dépistage des cancers du sein : à qui vous adresser ? - Dépistage du cancer du sein (e-cancer.fr) 

 

 

LE CANCER DE L’OVAIRE

Le cancer de l’ovaire est un cancer féminin rare avec 5000 nouveaux cas par an. L’âge médian du diagnostic est 66 ans. Dans 10% des cas, son origine est génétique et principalement en rapport avec une mutation du gène BRCA. Dans les autres cas, des facteurs de risque ont été identifiés tels que la ménopause tardive, l’infertilité ou l’absence de grossesse.

Le diagnostic du cancer de l’ovaire se fait dans les trois quarts des cas à un stade avancé, ce qui veut dire que d’autres organes à proximité ou à distance de l’ovaire malade sont également touchés.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-l-ovaire/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de l’ovaire, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, chimiothérapie, thérapies ciblées, radiologie interventionnelle, consultations d’oncogénétique… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

 

 

LE CANCER DU COL DE L’UTERUS

Le col de l’utérus est la partie basse de l’utérus, et se termine au fond du vagin. Un cancer du col de l’utérus se développe à partir de la muqueuse du col de l’utérus, autrement dit, du tissu qui le recouvre.

La cause principale du cancer du col de l’utérus est une infection persistante par un virus qui se transmet par voie sexuelle : le papillomavirus humain ou HPV
Parfois, ce virus s’installe durablement au niveau du col de l’utérus, il peut provoquer des modifications de sa surface, on parle alors de lésions précancéreuses ou CIN (Néoplasie Cervicale Intraépithéliale). Dans certains cas, il arrive que ces lésions évoluent vers un cancer.

Cette évolution est lente puisqu’un cancer apparaît généralement 10 à 15 ans après l’infection persistante par le virus.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-col-de-l-uterus/Points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du col de l’utérus, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

 

 

LE CANCER DE L’ENDOMETRE

L'endomètre est le revêtement muqueux intérieur de la paroi du corps de l'utérus. C'est la partie de l'utérus où se déroule la grossesse. Environ 80% des cancers de l’endomètre surviennent chez les femmes ménopausées (l’âge moyen au diagnostic est de 68 ans).

Les facteurs de risque du cancer de l’endomètre sont : l’âge, avec l’arrivée de la ménopause ainsi que l’hyperoestrogénie (excès d’œstrogènes) pouvant être lié à plusieurs causes comme l’obésité et le diabète, mais aussi l’hypertension artérielle voire un alcoolisme. Finalement, il existe un facteur de risque lié à l’hérédité qui est le syndrome de Lynch.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-l-endometre/Points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du col de l’endomètre, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

 

Urologie

 

LE CANCER DE LA PROSTATE

C’est le cancer le plus fréquent, à la fois chez l’homme et dans l’ensemble de la population avec 50 430 nouveaux cas diagnostiqués en France en 2015. Il est très rare avant 50 ans et son incidence augmente progressivement avec l’âge. L’âge moyen au moment du diagnostic est de près de 70 ans.Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anormale, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne.

La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales).

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-la-prostate/Points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de la prostate, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales avec techniques robot-assistée, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées comme l’hormonothérapie, radiologie interventionnelle, consultations d’oncogénétique… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

 

 

LE CANCER DU REIN

Le nombre de nouveaux cas de cancer du rein en 2018 en France était estimé à 5 323, dont 67 % chez l’homme. L'âge moyen au moment du diagnostic est de 65 ans.

Un cancer du rein peut prendre naissance à partir d'une cellule de différentes parties du rein. Dans la majorité des cas, il se développe à partir d'une cellule du parenchyme rénal et ce type de cancer porte le nom de carcinome à cellules rénales. Il existe également des carcinomes papillaires, chromophobes ou les oncocytomes, beaucoup plus rares.

Le cancer du rein est associé à plusieurs facteurs de risque dont les principaux sont le tabagisme, le surpoids et l'obésité et un traitement par dialyse depuis plus de trois ans.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-rein/Points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du rein, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales avec techniques robot-assistée, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle, radiothérapie… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

 

 

LE CANCER DE VESSIE

On estime à 13 074 le nombre de nouveaux cas de cancer de vessie diagnostiqués en France en 2018, dont 81 % chez l’homme. Il s'agit du 7e cancer le plus fréquent.

La vessie fait partie de l’appareil urinaire, qui regroupe l’ensemble des organes fabriquant l’urine et l’évacuant hors du corps. Le cancer de vessie se développe à partir des cellules de la paroi interne de la vessie : une cellule normale se transforme, puis se multiplie de façon anarchique, jusqu’à former une tumeur. Le plus souvent, le cancer se forme à partir des cellules de la muqueuse (épithélium urothélial). Il prend alors le nom de carcinome urothélial. C’est le cancer de la vessie le plus fréquent.

Il existe plusieurs facteurs de risque favorisant le développement d’un cancer de la vessie :

  • La consommation de tabac. Afin de réduire le risque de complications, l’arrêt du tabac est fortement recommandé en cas de cancer de la vessie.
  • Une exposition professionnelle à certains agents chimiques ;
  • Un traitement antérieur par radiothérapie au niveau du bas-ventre ; 
  • Une chimiothérapie à base de cyclophosphamide ;
  • La bilharziose urogénitale, une maladie tropicale ; 
  • Un traitement pour une tumeur de l’uretère ou du bassinet du rein.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-la-vessie/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de la vessie, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales avec techniques robot-assistée, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé. En cas de consommation de tabac et de souhait d’arrêter, une équipe de tabacologues peut vous accompagner dans ce projet.

 

 

LE CANCER DU TESTICULE

Les cancers du testicule sont des tumeurs rares qui touchent 2000 hommes par an en France. C’est le cancer le plus fréquent chez l’homme jeune (15 à 45 ans). Dans la moitié des cas, cette tumeur est diagnostiquée à un stade localisé.

Les cancers du testicule se développent le plus souvent à partir des cellules qui produisent les spermatozoïdes. On parle de tumeurs germinales (95%). Il existe deux types de tumeurs germinales : séminomateuses et non séminomateuses. Le principal facteur de risque reconnu est la présence d’une ectopie testiculaire (testicule non descendu) dans l’enfance.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-testicule/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du testicule, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

ORL

 

LES CANCERS DE LA SPHERE ORL

Un cancer de la sphère ORL (oto-rhino-laryngée), aussi nommé cancer de la tête et du cou, est une maladie qui se développe dans l’un des organes formant les voies aérodigestives supérieures (VADS). Il s'agit des cancers de la bouche, du nasopharynx, de l’oropharynx, de l’hypopharynx (qui composent le pharynx) et du larynx, aussi appelés gorge. Ces organes sont aussi essentiels à la parole et à l’olfaction. Ils sont dans 95 % des cas des carcinomes épidermoïdes, tumeurs développées à partir de l’épithélium des muqueuses.

Ces cancers apparaissent essentiellement entre 50 et 60 ans et les principaux facteurs de risque sont l’alcool et le tabac.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancers-de-la-sphere-ORL-voies-aerodigestives-superieures/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de la sphère ORL, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé. En cas de consommation de tabac ou d’alcool et de souhait d’arrêter, une équipe d’addictologues peut vous accompagner dans ce projet.

Neurologie

 

LES TUMEURS CEREBRALES

Il existe un grand nombre de tumeurs du cerveau différentes. Selon leur localisation, leur taille et leur agressivité, c’est-à-dire la vitesse à laquelle elles se développent, ces tumeurs n’entraînent pas les mêmes symptômes et n’ont pas la même gravité.

Les symptômes provoqués par une tumeur cérébrale diffèrent en fonction de la taille de la tumeur et de sa localisation. Il peut s’agir notamment de maux de tête, de crises d’épilepsie ou de troubles fonctionnels (difficultés à parler, à coordonner ses mouvements, à se repérer dans l’espace…).

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Tumeurs-du-cerveau/Points-cles 

Le CHANGE assure la prise en charge globale des tumeurs cérébrales, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues, permettant de proposer un traitement personnalisé

Hépato-Gastro-Entérologie

LE CANCER DU COLON ET DU RECTUM

C’est le cancer le plus fréquent, à la fois chez l’homme et dans l’ensemble de la population avec 50 430 nouveaux cas diagnostiqués en France en 2015. Il est très rare avant 50 ans et son incidence augmente progressivement avec l’âge. L’âge moyen au moment du diagnostic est de près de 70 ans.Un cancer de la prostate est une maladie qui se développe à partir de cellules de la prostate initialement normales qui se transforment et se multiplient de façon anormale, jusqu’à former une masse appelée tumeur maligne.

La majorité des cancers de la prostate sont des adénocarcinomes (90 %) ; ils se développent à partir des cellules qui constituent le tissu de revêtement de la prostate (cellules épithéliales).

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-colon/Les-points-cles 

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-rectum/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers digestifs, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle, essais cliniques… Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicales, chirurgicales et les radiologues, permettant de proposer un traitement personnalisé.

Le dépistage organisé du cancer colorectal

Le dépistage organisé du cancer colorectal, proposé gratuitement et systématiquement aux 50-74 ans, tous les 2 ans. Il s’agit d’un test de recherche de sang microscopique dans les selles, par méthode immunologique.

En cas de test positif, une coloscopie est nécessaire pour examiner l'intérieur du côlon afin de détecter l'anomalie responsable du saignement.

En savoir plus sur le dépistage en pratique :

Vidéo en lien : https://www.youtube.com/watch?v=_XIHH3ER6X8

Un des meilleurs moyens de prévenir le cancer colorectal est de pratiquer une activité physique régulière et d’avoir une alimentation équilibrée. Pendant la maladie, le service des soins de support du Centre Hospitalier Annecy Genevois peut vous aider dans ces démarches.

 

LE CANCER DE L'ŒSOPHAGE

Près de 5 000 nouveaux cas de cancers de l’œsophage sont diagnostiqués chaque année en France. Les 3/4 concernent des hommes, pour la plupart âgés de plus de 50 ans. Le cancer de l’œsophage se développe le plus souvent à partir des cellules de la muqueuse. Selon le type de cellule impliquée, on parle de carcinome épidermoïde ou d’adénocarcinome.

  • En cas de carcinome épidermoïde (tiers moyen ou supérieur de l’œsophage), le traitement le plus souvent proposé est une association radiothérapie-chimiothérapie. Un traitement par immunothérapie est parfois possible, ainsi qu’une prise en charge chirurgicale.
  • En cas d’adénocarcinome, selon le stade d’évolution de la tumeur diagnostiquée, la prise en charge s’effectue le plus souvent dans le cadre d’un traitement comportant une chimiothérapie, une radiothérapie, une chirurgie, et/ou une immunothérapie.

En savoir plus sur le cancer de l’oesophage sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancers-de-l-oesophage/Le-cancer-de-l-oesophage-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de l’oesophage, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, immunothérapie, radiologie interventionnelle, essais cliniques… Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale et chirurgicale et les radiologues, permettant de proposer un traitement personnalisé

 

LE CANCER DE L'ESTOMAC

Environ 6 500 nouveaux cas de cancers de l’estomac sont actuellement diagnostiqués en France chaque année. Les hommes – 65 % des cas, sont plus touchés que les femmes. Dans la majorité des cas, il est liée à la présence d’une bactérie dans l’estomac, Helicobacter pylori.

En savoir plus sur le cancer de l’estomac sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-de-l-estomac/Points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de l’estomac, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, immunothérapie, radiologie interventionnelle, essais cliniques… Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale et chirurgicale et les radiologues, permettant un traitement personnalisé

 

LE CANCER DU CANAL ANAL

Le cancer du canal anal touche chaque année près de 1000 personnes en France. Les cancers du canal anal sont rares, et prédominent chez la femme. Ils sont liés dans 90% des cas au Papillomavirus (HPV). La vaccination des filles et garçons contre ce virus, avant l’adolescence, a pour objectif la réduction de sa fréquence.

Chez plus de 90% des patient(e)s, au moment du diagnostic, le cancer du canal anal est encore localisé. Selon le volume de la tumeur, l’équipe médicale du Centre Hospitalier Annecy Genevois propose alors un traitement curatif conservateur local par radiothérapie, associée ou non à une chimiothérapie. Une chirurgie n’est pas systématique et peut être discutée au cas par cas en cas de poursuite évolutive.

Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale et chirurgicale et les radiologues, permettant de proposer une prise en charge thérapeutique personnalisée.

 

LE CANCER DU PANCRÉAS

Sur 14 000 nouveaux cas de tumeur maligne du pancréas diagnostiqués chaque année en France, environ 13 000 sont des adénocarcinomes (cancer du pancréas). Les principaux facteurs de risque en sont le tabac, l’obésité, le diabète, et les antécédents familiaux multiples.

En savoir plus sur le cancer du pancréas sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-pancreas/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du pancréas, du diagnostic aux traitements : endoscopie interventionnelle, interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, radiologie interventionnelle, essais cliniques… Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale et les radiologues, permettant de proposer une prise en charge thérapeutique personnalisée.

 

LE CANCER DU FOIE

Il existe deux types de cancers primitifs du foie. Il faut les différencier des lésions secondaires hépatiques ou « métastases » d’un cancer ayant débuté dans un autre organe, et dont le traitement dépend de la lésion primitive.

  •  l’hépatocarcinome (le plus fréquent),
  • le cholangiocarcinome (développé aux dépens des voies biliaires).

En France, avec plus de 8 000 nouveaux cas chaque année, l’hépatocarcinome est au 12ème rang des cancers en termes de fréquence. L’homme est concerné dans 8 cas sur 10, essentiellement après 50 ans.

En savoir plus sur le cancer du foie sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-foie/Points-cles

Le développement de la prise en charge pluridisciplinaire a permis d’enregistrer des progrès notables pour ces deux types de cancer. Le Centre Hospitalier Annecy Genevois dispose d’un large éventail thérapeutique pluridisciplinaire, associant la chirurgie, la radiothérapie, l’endoscopie et la radiologie interventionnelles, la chimiothérapie, l’immunothérapie, les essais cliniques... Une réunion de concertation pluridisciplinaire de pathologie digestive a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale et chirurgicale et les radiologues, permettant de proposer une prise en charge thérapeutique personnalisée et mini-invasive.

Le CHANGE travaille en étroite collaboration avec les CHU de Grenoble et de Lyon, en particulier lorsqu’une greffe de foie (transplantation hépatique) ou une chirurgie complexe sont nécessaires.

 

LES TUMEURS NEURO-ENDOCRINES

Les tumeurs neuro-endocrines (TNE) sont une famille de tumeurs rares issues de diverses glandes (endocrines) de l’organisme : tube digestif, pancréas, bronches, surrénales, thyroide, etc... Elles évoluent de façon parfois très lente.

Ces tumeurs ont une agressivité variable et des traitements adaptés à cette agressivité et à leur glande d’origine impliquant, vu leur rareté, une prise en charge par une équipe pluri-disciplinaire experte.

L’équipe du Centre Hospitalier Annecy Genevois travaille en étroite collaboration avec l’équipe régionale RENATEN (Réseau National de prise en charge des Tumeurs neuro-Endocrines) du CHU de Lyon.

Une stratégie thérapeutique adaptée de ces tumeurs rares est effectuée. Un bilan héréditaire est proposé à tous patients afin de rechercher une possible maladie familiale. Ce bilan est basé sur les antécédents personnels et familiaux.

Une chirurgie est souvent proposée avec pour objectif la résection complète de la tumeur, parfois pour traiter les rechutes locales ou/et métastatiques. Les autres traitements indiqués sont la radiothérapie métabolique, une chimiothérapie ou une thérapie ciblée.

Un suivi régulier spécialisé est indispensable afin de suivre les évolutions, ceci, notamment, par la réalisation régulière d’examens d’imagerie.

Dermatologie

LES CANCERS DE LA PEAU

Les dermatologues de l’institut de cancérologie du CHANGE, prennent en charge les patients atteints de cancers de la peau étendus ou complexes et ceux qui présentent des effets secondaires cutanés induits par les traitements du cancer. La plupart des cancers de la peau ne requiert pas de prise en charge dans un centre hospitalier et sont opérés chez votre dermatologue au cabinet.

Les cancers de la peau regroupent :

  • les mélanomes : mélanome superficiel extensif, mélanome nodulaire, mélanome acrolentigineux, mélanome de Dubreuilh ou muqueux
  • les carcinomes : carcinome épidermoïde, carcinome basocellulaire, carcinome annexiel et carcinome neuroendocrine ou tumeur de Merkel
  • le dermatofibrosarcome de Darier-Ferrand

Les décisions de traitement sont prises lors de réunions de concertation pluridisciplinaire (RCP), qui se réunissent chaque Vendredi au sein de l’établissement et rassemblent les différents acteurs médicaux impliqués et experts : onco-dermatologues, radiologues, médecins nucléaires, pathologistes, chirurgiens, radiothérapeuthes, etc. en collaboration étroite avec les médecins libéraux habituels des patients.

1/ Les carcinomes basocellulaires et les carcinomes épidermoïdes cutanées sont les plus fréquents des cancers de la peau.

Leur traitement est dans la grande majorité des cas chirurgical et les suites très simples sous réserve d’une prise en charge précoce. Ils surviennent le plus souvent après l’âge de 50 ans.

Informations disponibles sur le site de la Société Française de Dermatologie (SFD) lien suivant :

https://dermato-info.fr/fr/les-maladies-de-la-peau/les-carcinomes

2/ Le mélanome :

Il existe environ 15 000 nouveaux cas diagnostiqués/an en France de mélanomes. Le mélanome peut toucher toutes les tranches d’âge avec un pic entre 50 et 60 ans. C’est le cancer ayant le plus augmenté en nouveaux cas par an ces dernières années. Dans la majorité des cas, il y a APPARITION d’une lésion pigmentée ou modification d’un nævus pré-existant

L’ensemble des cancers de la peau sont en grande majorité liés à l’exposition au soleil

Informations disponibles sur le site de la Société Française de Dermatologie (SFD) lien suivant : https://dermato-info.fr/fr/les-maladies-de-la-peau/les-mélanomes

Les dermatologues du CH d’Annecy sont membres du Groupe de Cancérologie Cutanée (GCC) de la Société Française de Dermatologie et du réseau CARADERM. Liens utiles : https://www.cancer-et-peau.com/  https://www.caraderm.org/

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

Le mélanome de la peau : points clés - Mélanome de la peau (e-cancer.fr)

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers de la peau, du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé. En cas de consommation de tabac ou d’alcool et de souhait d’arrêter, une équipe d’addictologues peut vous accompagner dans ce projet.

Oncologie thoracique

LE CANCER DU POUMON (Cancer bronchqiue)

Le cancer du poumon est le 3ème cancer le plus fréquent chez l’homme et la femme : il a atteint environ 46 000 personnes en France en 2018. Il s’agit d’un des cancers les plus meurtrier : environ 33 000 décès en 2018. Le nombre de nouveaux cas se stabilise chez l’homme mais augmente fortement ces dernières années chez la femme, conséquence du tabagisme débuté de manière plus tardive chez la femme.

L’âge moyen au diagnostic est de 67 ans chez l’homme, 65 ans chez la femme.

Le cancer bronchique se développe à partir d’une cellule devenue anormale, au sein des bronches ou des alvéoles pulmonaires. Les cellules prolifèrent de manière anarchique pour former un amas de cellules appelée tumeur.

Plus de 60% des cancers du poumon sont découverts à un stade métastatique, c’est-à-dire lorsque des cellules en provenance de la tumeur pulmonaire sont parties dans la circulation sanguine et se sont logées dans un autre organe, donnant alors des métastases.

Le cancer bronchique fait partie des cancers évitables, la consommation de tabac étant responsable de 80% des cas.

Il n’existe pas encore de dépistage organisé du cancer du poumon, mais la réalisation d’un scanner thoracique faible dose est indiqué chez les fumeurs et ancien fumeurs, tous les 2 à 3 ans.

En savoir plus sur le site de l’INCA (Institut National du Cancer) :

https://www.e-cancer.fr/Patients-et-proches/Les-cancers/Cancer-du-poumon/Les-points-cles

Le CHANGE assure la prise en charge globale des cancers du poumon , du diagnostic aux traitements : interventions chirurgicales, radiothérapie, chimiothérapie, thérapies ciblées, immunothérapie, radiologie interventionnelle, consultations d’oncogénétique… Une Réunion de Concertation Pluridisciplinaire a lieu chaque semaine, réunissant les équipes médicale, chirurgicale, radiologues/médecins nucléaires et les anatomopathologistes, permettant de proposer un traitement personnalisé.

Possibilité de participer à des essais thérapeutiques sur le CHANGE.

Les soins de supports

Soins de support et d’accompagnement de la personne en cancérologie : 

Vous sortez d’une consultation médicale. Vous allez être traité par chirurgie, chimiothérapie, radiothérapie, thérapie ciblée, immunothérapie.

Il est légitime que vous vous posiez de nombreuses questions sur la maladie, votre parcours de soins, les examens complémentaires, les traitements, les modalités pratiques de votre parcours thérapeutique, ses conséquences…

Au CHANGE, il existe différents professionnels qui peuvent être à vos côtés tout au long de votre parcours de soins : certains sont en complément du traitement médical, d’autres vous permettront de mieux supporter les effets secondaires, et d’autres sont là pour vous soutenir et vous orienter.

 

En savoir plus sur le CHANGE : soins_de_support_change_2022_002_0.pdf (ch-annecygenevois.fr) 

 

En savoir plus sur le site de l'INCA : Les soins de support tout au long du parcours de soins - Parcours de soins des patients (e-cancer.fr)

 

Vidéos

 

Afin d'améliorer votre prise en charge, les équipes de cancérologie du CHANGE ont réalisé plusieurs vidéos explicatives concernant le parcours de soins.

 

Parcours de soins en cancérologie - Réunion de concertation pluridisciplinaire et consultation :

 

 

 

Parcours de soins en cancérologie - Catheters centraux : PAC et picc-line :

 

 

Parcours de soins en cancérologie - la radiothérapie :

 

 

Parcours de soins en cancérologie - La recherche clinique 

 

 

L'équipe médicale

  • Annecy
  • ST JULIEN EN GENEVOIS
  • Voir tout

Laëtitia STEFANI

  • oncologue
  • responsable d'unité
Annecy

Stéphane LOPEZ

  • oncologue
Annecy

Marie VALLEE

  • Oncologue médical
Annecy

Marie LOUVEL

  • Assistante oncologie médicale
Annecy

Sarah SANNICOLO

  • oncologue
Annecy

Charlotte BATAILLE-DEBUCQUOY

  • oncologue
Annecy

Mélodie CARBONNAUX

  • oncologue
Annecy

Oana POP

  • oncologue
Annecy